CONCERT FRANCKO À ABIDJAN ET BOUAKÉ : IL N'A PAS PU COLLER LES PETITES À ABIDJAN, BOUAKÉ REPOND À L'APPEL

Francko n'a pas eu assez de glue pour coller ses mélomanes ivoiriens. Devant prester en live au NPA de Yopougon toits rouge, le samedi 12 août, et le lendemain à la promenade orange de la place de la paix de Bouaké, le Camerounais n'a pu entonner, comme il se doit, son fameux hymne "Coller la petite". Au NPA de Yopougon, le show devait débuter depuis 18h, mais jusqu'à 22h, l'espace n'avait enregistré qu'une quinzaines de personnes, selon notre source. Le promoteur du spectacle a donc préféré annuler simplement le spectacle, vu qu'il n y 'avait vraiment pas de monde. 

A Bouaké, le deuxième rendez-vous de l'artiste avec ses fans a été satisfesant . plus de 2000 fans se sont mobilisés autour de l'artiste. Les organisateurs n'ont pas fait les choses à moitié. l'Organisateur de l'evenement à Bouake " Commissaire Blanc " a mis le paquet .

Les raisons évoquées sur le concert d'Abidjan sont le déficit de communication autour de l'évènement. L'un des responsables de la structure organisatrice a avoué avoir fait preuve d'immaturité et de noviciat dans l'organisation de ce spectacle. Il reconnait n'avoir pas communiqué comme il se doit autour de l’arrivée de Francko mais aussi d'avoir fait un mauvais casting dans le choix de l'artiste.

Ils (les promoteurs) assument l'entièreté de cet échec. Toutefois, ils comptent bien rattraper le tir dans des prochains évènements.
L'artiste Francko, pour sa part, a pris la situation avec sérénité.
Cette situation doit interpeller les acteurs du showbiz (communicateurs, managers, promoteurs d'évènements…) sur le rôle important et quasi incontournable de la communication. Le fiasco du concert de Francko en est une preuve palpable.

La communication est un maillon essentiel pour la réussite d'un évènement. Cela y va de la notoriété de l'artiste, mais aussi du sérieux du promoteur.
La communication nécessite de gros moyens financiers certes, mais elle a le mérite de permettre au promoteur de rentabiliser ses investissements et à l'artiste de préserver son image.

Source: Imatin